Une rose blanche
Le cimetière était tel un parc accueillant
Dessinant ses allées peuplées d'arbres géants
Le vent fou de chagrin faisait trembler leurs feuilles
J'ai frôlé de ma main le bois de ton cercueil
Quelle fut ma douleur lors de la mise en terre
Quand j'ai senti mon cœur lacéré par du verre
J'aurais aimé briser cette stèle de pierre
À nouveau te serrer sous l'éclat de lumière
Doucement j'ai pleuré murmurant ton prénom
Tu vivras en pensées présent dans mes saisons
Tu accompagneras mes nuits et mes journées
Tu seras toujours là vêtu d'éternité
Le vent s'est arrêté pour un calme apaisant
Étant agenouillée pour un recueillement
Sur le marbre j'ai mis la blancheur d'une rose
Une fleur épanouie sur cette tombe close
Le cimetière était tel un parc accueillant
Dessinant ses allées peuplées d'arbres géants
Le vent fou de chagrin faisait trembler leurs feuilles
J'ai frôlé de ma main le bois de ton cercueil
Quelle fut ma douleur lors de la mise en terre
Quand j'ai senti mon cœur lacéré par du verre
J'aurais aimé briser cette stèle de pierre
À nouveau te serrer sous l'éclat de lumière
Doucement j'ai pleuré murmurant ton prénom
Tu vivras en pensées présent dans mes saisons
Tu accompagneras mes nuits et mes journées
Tu seras toujours là vêtu d'éternité
Le vent s'est arrêté pour un calme apaisant
Étant agenouillée pour un recueillement
Sur le marbre j'ai mis la blancheur d'une rose
Une fleur épanouie sur cette tombe close
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